L’honnêteté, l’humilité, la loyauté et la droiture du propriétaire de l’immeuble IHEM sis à l’ACI 2000, Abdoullah Coulibaly, sont d’une constance internationalement reconnue qui n’ont jamais souffert de moindre doute de la part de tous ceux qui ont eu à croiser son chemin. Homme simple, de paix et de justice, il donne même l’impression générale de mener une vie isolée non par méchanceté mais par peur de préjudicier involontairement un proche. C’est l’image de cet homme, qui bénéficie du respect de tous, au Mali comme ailleurs, que la promotrice du restaurant « La Vieille marmite », Mme Traoré Oumou Traoré veut à tout prix ternir dans un contentieux judiciaire qui les oppose. Pour ce faire, elle cumule, sans gêne ni précaution, contrevérités et victimisation dans une affaire déjà en cours de règlement judiciaire.
A défaut d’obtenir gain de cause dans un procès qu’elle a, elle-même, initié, la promotrice du restaurant « La Vieille marmite », Mme Traoré Oumou Traoré opte désormais à salir l’image d’Abdoullah Coulibaly auprès de l’opinion nationale et internationale. Depuis quelques temps, elles multiplient des publications dans la presse pour non seulement tenter de critiquer la décision de justice qui l’a condamnée en première instance mais aussi pour tenter de passer Abdoullah Coulibaly pour un monstre. Pour se victimiser auprès de la justice malienne, elle n’hésite pas à assimiler à une infraction violence basée sur le genre. « C’est une autre forme de violence basée sur le genre parce que les VBG ne sont pas que physiques. J’ai été atteint en tant que modeste femme engagée dans le cadre du leadership féminin. Abdoullah Coulibaly m’a démarchée et après, i
l a essayé de m’étouffer sans que je m’en rende compte, sachant que mon restaurant est l’une des références au Mali et même dans la sous-région parce que j’ai apporté du changement dans l’art culinaire malien. Je fais la promotion et la valorisation des produits agricoles locaux et je suis une vitrine de consommation et de commercialisation incontournables dans la chaine de valeur de l’agroalimentaire », prétend la restauratrice. Mais, c’est mal connaitre Abdoullah Coulibaly qui n’a presque jamais fait du mal à un homme à plus forte raison une femme.
En effet, Mme Traoré Oumou Traoré reproche à Abdoullah Coulibaly de l’avoir trahie dans le cadre de l’extension de son restaurant à l’immeuble IHEM et elle avait assigné Abdoullah devant la justice pour réclamer 500 millions de F Cfa à titre de réparation de préjudice. Et dans sa plainte, Mme Traoré Oumou Traoré prétend avoir un contrat avec Abdoullah qu’elle n’est jamais parvenue à apporter la preuve matérielle. Toute chose qui a poussé les juges à la débouter et en la condamnant à payer 55 millions à Abdoullah Coulibaly. Face aux conséquences de ses propres turpitudes, Mme Traoré Oumou Traoré veut aujourd’hui faire de certains journaux son avocat défenseur en jouant à la victime. « Le tribunal m’a plutôt demandé de payer 55 millions à mon bourreau, ce qui m’a énormément blessée parce que je suis sur le point de perdre mon restaurant. J’étais à 500 millions de Fcfa de chiffre d’affaires annuel et depuis ce problème, aujourd’hui je suis à 20 millions de Fcfa », s’alarme-t-elle. Là aussi Mme Traoré Oumou Traoré manque sérieusement de précaution et chute dans le mensonge flagrant. Car pour qui la connait et son restaurant, elle n’a jamais atteint les dix millions de F CFA de chiffre d’affaires par an. Aussi, se demande-t-on, pourquoi Mme Traoré Oumou Traoré veut coûte que coûte médiatiser cette affaire toujours pendante devant la cour d’Appel ? Visiblement elle est dans une logique de fuite en avant sachant bien qu’elle n’a aucune preuve pour faire valoir ses prétentions auprès des juges. Sinon pourquoi solliciter le règlement des juges pour ensuite se fourrer dans des campagnes de dénigrement dans les médias. Foutez la paix à Abdoullah et laissez les juges faire leur boulot !
YZK